
La première scène - déroutante et épatante - laisse entrevoir ce que le regard neuf d'un jeune réalisateur issu de la télévision comme David Yates peut apporter à la "franchise" cinématographique Harry Potter : las ! Il ne s'agit que d'un leurre, et bien vite, la machine "hollywoodienne" impose son esthétique, convenue et saturée d'effets spéciaux, et son rythme. Pourtant, "l'Ordre du Phenix" étant le plus raté et le plus ingrat des livres de J.K. Rowling, le scénario du film arrive à la fois à évoquer...
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