
Avouons-le, la 1ère partie de "Die Hard 4" est littéralement "jouissive", mettant en scène le fantasme suprême du citoyen moyen, la destruction complète des systèmes informatiques de l'État, de ses finances à ses moyens de police : même si le scénario se barde du discours anti-terroristes convenu, la construction du message de ceux-ci à partir de fragments d'allocutions présidentielles, dont l'un des fameux "speeches" de Bush sur l'Irak, laisse place assez finement à la volupté de l'instauration d'une...
[Lire la suite]