
La nuit descend sur la foule immense de Glastonbury, les drapeaux s'agitent, et sur scène, il y a le groupe le plus passionnant du moment (à moins qu'il ne s'agisse simplement du meilleur groupe de Rock du monde en ce début de siècle ?) : si cela ne ressemble pas au bonheur, qu'est-ce que c'est alors ? Sur la scène, c'est ce chaos paradoxal auquel Arcade Fire nous ont désormais "habitués" : Win Butler habité, Régine Chassagne qui agite ses bras et chante TOUTES les paroles - même quand ce n'est pas à elle -, les deux fous...
[Lire la suite]