
Il était sans doute inévitable que, après le démarrage fulgurant des 7 premiers chapitres, "Death Note" marque un peu le pas. La raison en est double : Ohba a pour l'instant échoué à faire de "L.", sorte de stéréotype du héros de mangas pour adolescents, un personnage aussi fascinant que Light, et toutes les scènes tournant autour de l'enquête en deviennent assez fastidieuses. Ensuite, le meurtre des agents du FBI transforme clairement (ah ha) Light en un "pur méchant", et fait disparaître l'ambigüité...
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