
"Le Dernier Roi d'Ecosse" porte dans son principe même les deux faiblesses coupables qui l'empêchent définitivement d'être autre chose qu'un bon film "de divertissement". D'abord, son scénario - largement hors sujet par rapport à ses prétentions politiques - qui reproduit une fois de plus le schéma de l'idéologie dominante du cinéma occidental : finalement, rien de ce qui n'arrive en Ouganda ne saurait intéresser le spectateur si cela n'arrive pas à un héros blanc, vecteur de la bonne vieille identification (qui a...
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