
Quelque fois, à force d'écouter des mélodies parfaites qui infusent de
la joie dans le coeur ou de vibrer sur des rythmes purement "bestiaux",
on oublie que la musique peut faire des dizaines d'autres choses, comme
par exemple dessiner des paysages mentaux dans lesquels il fait bon se
perdre, comme pour mieux se retrouver comme être humain (roseau pensant
?). Electrelane, entre tradition krautrock et tentations post-rock
(étiquettes, étiquettes) offre ce genre d'errance, entre une structure
rythmique...
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