
"La Jeune fille à la Perle", adapté de l'un de ses soit-disant "best sellers" qui polluent les kiosques des gares, a à peu près tout faux depuis le départ : car à quoi bon recréer l'univers visuel d'un peintre au cinéma, sinon pour signifier sa propre maîtrise, son propre académisme ? Spectateurs, allez plutôt au musée ! Plus encore, prétend-on ici nous réveler que les classes sociales étaient, au XVIIe siècle, totalement imperméables à l'amour ? La belle découverte ! Quant au maniérisme pesant du non-dit...
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