
La deuxième vision du dernier chef d'oeuvre de Paul Verhoeven permet de s'affranchir de sa provocation habituelle (les Hollandais revanchards aussi fascistes que leurs envahisseurs, les résistants cupides, le chef de la Gestapo comme seul personnage positif, etc. Verhoeren n'est tendre ni avec ses compatriotes, ni avec les clichés du cinéma) pour se concentrer sur l'aspect follement romanesque des aventures de notre héroïne aussi déterminée que sexy : soit, encore une fois chez Verhoeven, un portrait de femme maître de son destin, en...
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