
Depuis des années, Tsui-Hark, encensé par une critique qui semble tout lui pardonner pour avoir été il y a bien longtemps l'un des plus impressionnants créateurs de l'âge d'or de Hong Kong, nous ennuie beaucoup. "Seven Swords" ressemble à ce qu'il pouvait faire de pire, dans une sorte de saturation provocatrice de son style : violence outrancière dans la 1ère partie, plus gore d'ailleurs qu'autre chose, lyrisme outrancier jusqu'au grotesque (l'adieu d'un guerrier à son vieux cheval touche au ridicule le plus absolu),...
[Lire la suite]