
Il faut passer sur le moralisme et le gnangnan psychanalitique tellement prévisible du scénario (si une femme aime le sexe, c'est forcément qu'elle est "malade" et qu'elle a été violée par son père quand elle était enfant, le genre...), et prendre "Black Snake Moan" pour ce qu'il est : le premier film "blues" de l'histoire du cinéma, pas un film sur LE Blues, non, un film parfaitement musical, sensuel, douloureux, brûlant, désespéré : dans chacune de ses images - exsudant le sexe et la chaleur du Sud -, à...
[Lire la suite]