
Il y a potentiellement chez tout vrai cinéphile/voyeur du plaisir à trouver dans le "cinéma d'exploitation" qui essaime régulièrement de par le monde, au sein des sociétés travaillées par leur pudibonderie ou leur culpabilité. Cela peut donc paraître une bonne idée de se plonger dans l'enfer sadico-érotique des films hong kongais dit de "catégorie 3", qui attiraient les Chinois frustrés en leur vendant du viol et de la torture à gogo, surtout quand le film est signé Andrew Lau, brillant formaliste des...
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