
On imagine difficilement un nom de groupe plus décalé, plus inapproprié que ce "The Zombies" en
écoutant de délicieux coulis de mélodies raffinées, voire éthérées
qui compose "Odessey (sic) & Oracle"... Encore un disque sinon obscur, du moins
bien oublié, de l'incroyable période créative des années 67-68. Tout ici
est beau, évident aussi, sonnant avec le recul comme la célébration
éperdue d'un âge d'espoirs et d'innocence, et nous laissant, auditeurs du
XXIe siècle, comme hébétés devant la...
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