
Fred Vargas m'irrite, je l'avoue : entre sa pose poétique qui se traduit par une
saturation permanente de ses romans par des images, des symboles, et sa tendance
à ne s'attacher qu'à des personnages improbables, voire sur-réels, quel espace
reste-t-il pour quelque chose de la vie survive dans ses romans ? Or, il m'a
toujours semblé que la force du thriller était de se confronter à la réalité
psychologique, sociale ou politique de ses personnages ou du microcosme social
auquel ils appartiennent... tout en stimulant...
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