
Comment peut-on parler la langue la plus musicale qui soit, le portugais du Brésil, et chanter 100% en Anglais ? Comment peut-on sortir des nuits radicales de São Paulo et singer les 1000 copies de Blondie de ces 30 dernières années ? Deux questions - parmi d'autres - qui viennent à l'esprit en écoutant le second CSS, un disque comme il en sort des dizaines par an sur la planète, banalisé par une production rock clinquante, et d'où toute la douce folie qui nous ravissait chez "Cansei de Ser Sexy" l'année dernière semble...
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