
L'Islande, loin de Björk et des ses fantaisies colorées, est donc un pays morne et sinistre, peuplé de bâtards porteurs de maladies génétiques se livrant à de sinistres occupations au dessus d'un vaste marécage puant qui envahit peu à peu le sous-sol de leurs appartements. Ne reste guère que la drogue, le viol et le suicide, à la fin, pour s'amuser ou se soulager de toute cette merde. "La Cité des Jarres" est lent, morne et sinistre comme l'Islande telle que Indridason la voit, et, si ce n'était la manière fort improbable...
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