
Dans le grand foutoir post-moderne, quoi de plus naturel qu'organiser - dans le chaos, quand même - la partouze définitive entre new wave blême et funk couillu, disco trépanée et dub obsessif ? Santagold est black, mais cela ne doit surtout ne pas s'entendre : le but du jeu est de vomir des paillettes dorées-toc et d'éjaculer une musique sans âme ni histoire, formatée par / pour le web 2.0 plutôt que pour les charts. Le pire, le mieux, c'est que toute cette débauche ne laissera personne insensible, ou alors les sourds et les culs de...
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