
Ce Douglas Kennedy écrit donc des best sellers, des romans de gare, dont les femmes rafollent apparemment. Prétentieux comme je suis, je n'aurais jamais été lire l'un de ses livres, sauf que l'on m'a chaudement recommandé "la Femme du Vème" : une nodule bienveillante dans les Inrocks m'a finalement convaincu. Et les 200 premières pages m'ont intrigué : j'ai essayé de me rappeler combien d'auteurs français avaient récemment aussi bien parlé du "vrai" Paris, celui des immigrés poursuivis par la police, celui aussi de...
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