
Avant le coup de génie de "20th Century Boys", il y a donc eu "Monster" qui a permis à Urasawa de développer sa fascination pour le mal absolu, mais un mal dissimulé derrière les apparences rassurantes des rituels sociaux les plus acceptables (avant Ami et ses jeux politiques, il y avait donc Johann, le garçon blond au raffinement et à la beauté idéaux)..., ainsi que pour les récits à niveaux multiples, qui permettent un dévoilement élégant - et toujours retardé - d'une vérité qui toujours se refuse à nous. Il faut...
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