
A la dernière page de ce 12è tome, nous savons (enfin, après plus de 2400 pages
? Déjà, alors qu'il en reste presque autant ?) qui est "Ami" ! Et on réalise
alors qu'on a tout simplement négligé de relier entre eux des fils de récit que
Urasawa a laissé trainer à notre intention tout au long de son "grand oeuvre"
(ce que Donkey a vu dans le laboratoire de Biologie, ce qui s'est vraiment passé
la nuit du "bain de sang" sur le toit, ce que dissimule le numéro 606 et ses
enfants affamés, que...
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