
J'aime The Dø pour cette ambiance dépressive furieusement cinématographique que
chaque morceau réussit à créer, voire à renouveler, tel un petit miracle de
poésie aigre et fragile. Sur scène, soyons francs, rien de tout cela : un show
puissant, spectaculaire, où chaque morceau est retravaillé à la térostérone -
batterie fracassante derrière - et voit ses tripes saignantes arrachées,
balancées à la foule. Mais aussi un show de "riches" avec de belles lumières,
une belle mise en scène et une belle sophistication du...
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