
Disons-le franchement, ce second volet du "Mesrine de Richet est décevant, surtout parce qu'il n'atteint pas à la facinante déraison du premier, et que, faute sans doute à son scénario moins protéiforme, et à son héros, moins convulsif, plus caricatural cette fois (des bribes d'humour allègent l'ambiance, mais ce n'était pas ce qu'on demandait !), il devient un simple polar franchouillard plutôt au-dessus de la moyenne. Mais ne tordons pas trop le nez : si Richet ne se révèle plus ici comme le disciple forcené d'un cinéma...
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