
Pour cette deuxième "saison" passée à Palomar, il me semble que Gilbert Hernandez a
encore augmenté son niveau d'attente envers son lecteur : une bonne vingtaine de
personnages centraux à une multitude de récits enchevêtrés, dont nous ne
comprenons les tenants et aboutissants (ou pas) que a postériori, sans parler de
l'implacable écoulement du temps, figuré par des ellipses saisissantes, qui nous
obligent à régulièrement reconsidérer ce que nous savons de nos ami(e)s de Palomar et de
leurs rapports. Le résultat...
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