
J'ai longtemps retardé le moment de la lecture des 90 courtes pages du premier roman de mon ami (oserais-je l'appeler ainsi ?) Dan. Parce que, naturellement, appréciant sa prose dans les fulgurants emails dont il nous abreuve chaque vendredi, je redoutais ce passage à la "grande forme", avec le risque d'une sorte d'institutionnalisation de la belle rage qui l'anime. Parce que, aussi, je ne voyais pas comment être objectif, ce qui est la moindre des choses, face au roman écrit par quelqu'un que je connais donc...
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