
Ce qui frappe - secoue serait le terme le plus exact - dès les premières minutes de "Blood", c'est l'extraordinaire beauté des images (je ne parle pas de l'animation, assez saccadée et basique), qui amène à se poser la question : qu'est-ce qui rend un dessin plus riche esthétiquement - et même émotionnellement - qu'une photographie ? Peut-être la réinterprétation que l'artiste fait de la réalité, qui conduit ici à une sorte d'exacerbation sublime des ambiances et des expressions ? Oui, "Blood" peut être qualifié...
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