
Seconde tentative de ma part de lire Modiano, après "Un Pedigree", et, une
nouvelle fois, des sentiments mitigés. C'est indiscutable qu'il y a dans "Dans
le café de la jeunesse perdue" une grande élégance, aussi bien dans l'écriture -
légère, vaporeuse même parfois - que dans la narration, qui fait se succéder
plusieurs narrateurs autour des mêmes "évènements" avec une subtilité
indiscutable : Modiano évite "l'effet Rashomon" devenu presque bateau, tout en
ne donnant jamais non plus...
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