
La dernière saison d'une "grande série TV" est inévitablement une gageure, et
les créateurs se trouvent pris entre le désir bien humain de clore, au
risque de l'artificialité, tous les
scénarios - qui ont souvent souvent proliféré au-delà du raisonnable - ouverts au cours des saisons précédentes, et celui, né d'un attachement intime aux personnages,
de laisser "la vie continuer" hors champs. "Oz" a l'élégance de choisir une voie
médiane : si cette conclusion est riche en rebondissements...
[Lire la suite]