
"Coraline" est l'occasion de confirmer les obsessions de Henry Selick, tant techniques (l'animation plan par plan, les "marionnettes") que thématiques (l'absence des parents, obligeant l'enfant à affronter seul le monde, l'amour des enfants à la fois comme enjeu et champ de bataille, les insectes comme genre triomphant), obsessions qui en font définitivement un auteur à part entière, désormais clairement distinct de Tim Burton ("l'étrange Noel.." était bien de par son sujet et son ambiance gothique un...
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