
Après 2 films magnifiques, "la Belle Personne" confirme que Christophe Honoré est un cinéaste qui compte, mais aussi un auteur singulier : partir d'une réaction épidermique à l'une des nombreuses saillies crétines de Sarkozy, tourner un petit film en quelques semaines afin de prouver la pertinence de "la Princesse de Clèves" en 2008, et nous livrer au final quelque chose d'aussi réjouissant que bouleversant, voilà qui tranche sauvagement avec le tout-venant du cinéma franchouillard. Au delà du triste Sako, "la...
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