
Nous, fans d'Indie Rock anglais depuis toujours (ou depuis les Smiths, c'est tout comme...), avons quelques fois des difficultés à nous défendre devant les quolibets des "vrais" rockers au sang bien rouge : comment pouvons-nous donc aimer ces langueurs, cette préciosité, ces poses intellectuelles, cette morosité affectée et élitiste ? Et, malheureusement, un album comme le dernier des Ecossais de Camera Obscura ne fait que valider les préjugés de nos ennemis : à peine quelques traces d'inspiration mélodique (mais alors, on...
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