
Le cap du troisième album est l'un des plus difficiles à franchir, surtout lorsque l'on est un groupe aussi "important" que Arctic Monkeys, phénomène anglais dépassant largement le territoire habituel des groupes de rock adolescent. L'étonnant statut d'Alex Turner, porte-parole d'un pays plongé dans une crise autant économique qu'existentielle, lui a sans doute donné une furieuse envie de remise en question : il a emmené cette fois son groupe sur les routes américaines, à la recherche d'un psychédélisme californien éternel...
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