
22h10 : quelques minutes après ses musiciens, Leonard CohenDance Me to the End of Love
: c'est la douche froide, le niveau du son est ridiculement faible, et bien
qu'il soit clair, il y a comme une résonance métallique que l'on imagine
caractéristique de la salle. Je suis assez consterné, d'autant que autour de
moi, ça remue beaucoup, ça jacasse, ça fume même : pas évident de se concentrer
sur les sublimes mélodies et les textes cruels ou virulents du maître. Mais
l'avantage d'un tel concert-marathon, c'est qu'on peut se...
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