
On n'avait pas lu une telle BD depuis le mémorable "Amour Propre" de Martin Veyron (datant quand même de 1983 !) : des dessins à la fois vraiment "hard" et totalement fun, qui au final conjuguent charge érotique - l'amour dans tous ses états sort renforcé, voire même magnifié par l'humour, quand il est aussi juste, voire tendre - et ironie joyeuse quant à des pratiques qui nous concernent tous. A la fois satire sociale et glorification du désir - car même le désir le plus terre-à-terre a sa part de gloire, même les...
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