
De par son principe même (Trondheim tient son carnet de bord,
transformant des situations quotidiennes, souvent anodines, parfois
excentriques, en sortes de "BD-haïkus" drôles, voire parfois
poétiques), "Les Petits Riens" verra son intérêt varier, très
logiquement, en fonction des (micro- ou macro-) événements de la vie de
son créateur. Dans "Mon Ombre au Loin", on est gâtés : entre voyages au
bout de monde - ou juste à quelques centaines de kilomètres - toujours
propices aux gags de la découverte...
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