
Nous, occidentaux, nous ne comprenons pas grand chose au Sumo ("deux gros qui se poussent" comme disait le fils d'un collègue à qui son père lui racontait l'affaire au téléphone...), mais assister à l'un des 4 ou 5 tournois de l'année de Sumo est une occasion qui ne se refuse pas. On se fait d'abord expliquer les régles - pas très compliquées : 4 minutes pour chaque combat, y compris l'intimidation à volonté de l'adversaire histoire de faire monter la pression, le jet de sel sur le ring d'argile ("dohyo"), et...
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