
Pour quelqu'un comme moi, que "le Disney officiel" a définitivement écœuré du conte psychanalytique de Lewis Carroll, le fait qu'un original - même largement rentré dans le rang depuis sa reconnaissance internationale massive - comme Tim Burton soit convié par les mêmes studios à un remake en 3D a généré autant d'intérêt que de craintes. Et "Alice au Pays des Merveilles" justifie les 2 : les craintes, d'abord, parce que la machine écrasante des effets spéciaux ("Oh ! Ah !", s'exclame le spectateur qui en...
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