
Il y a dans ce "Grandville" de nombreuses raisons de se réjouir, la première étant certainement de voir la Grande-Bretagne, pays rétif à la BD, devenir un nouveau vivier de créateurs et d'artistes. Bryan Talbot frappe très fort, avec un scénario ambitieux mêlant uchronie (ex-fan de SF, j'ai toujours personnellement un faible pour ce genre d'histoires...), tradition antropomorphique (Talbot fait donc référence au dessinateur français Grandville du début du XIXe siècle), univers steampunk assez "à la mode",...
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