
"Morse" est donc au garçons renfermés et exclus du monde ce que "Twilight" est aux filles romantiques déçues par leurs congénères humains : un conte d'espoir, l'espoir que quelqu'un de différent puisse vous comprendre et vous aimer, et tant pis si ce quelqu'un est un buveur de sang. Sauf qu'Alfredson et son écrivain-scénariste ont une autre intelligence que nos faiseurs hollywoodiens, et nous offrent une vision à la fois désincarnée (voir les quelques scènes sanglantes, totalement dédramatisées et distanciées,...
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