
On peut souscrire ou pas au choix stylistique de Fabrice Parme (retrouver la ligne claire et les à-plats "UPA" des années 50 qui y voyaient l'apothéose du modernisme), mais on ne pas nier sa concordance avec ce retour aux origines du Spirou de Franquin. Par contre, je ne vois pas comment on peut accorder le moindre crédit au scénario littéralement catastrophique de Trondheim (oui, "notre Trondheim", qu'on aime tant…) qui semble confondre burlesque et agitation vaine, et qui réduit ses péripéties à une seule idée :...
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