
Avec "Sans Un Mot", Coben renouvelle partiellement sa thématique habituelle, largement engluée dans l'éternel retour des secrets de famille, et dans les pièges d'un passé resurgissant... Reste que le vieux fond réactionnaire de Coben est bel et bien là, caché (mais pas trop) derrière son puritanisme bien pensant : l'Internet, c'est dangereux, le sexe hors de l'amour, c'est pervers, etc. etc. Le tout s'avère fatigant, sans même parler de la volonté de tout résoudre, tout relier à la fin, alors que l'un des charmes du sujet de...
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