
Le plaisir intense dans lequel on baigne (forcément ? Oui, ça me semble imparable…) en regardant chacun des 13 superbes épisodes de la seconde saison de "Mad Men" vient peut-être de ce sentiment irrésistible de voir le meilleur de l'art cinématographique (écriture, mise en scène, image) mis au service de l'espace-temps du feuilleton télévisé, qui permet d'explorer de manière tellement plus riche une époque (les années Kennedy, ici merveilleusement évoquées en "fond sonore" - la radio, la télé naissante : lutte pour...
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