
Alors que Soul Eater continue à dérouler son programme ultra-typique de manga pour ado (intrigue devenue incompréhensible, introduction permanente de nouveaux personnages sensés renouveler la dynamique des combats et apporter de nouveaux concepts ébouriffants), le lecteur fatigué continuera à se raccrocher au graphisme inspiré - pas forcément très lisible, mais c'est si beau, tout cela ! - ainsi qu'aux quelques rares moments de pause ou de comédie, rafraîchissants au milieu de toute cette débauche d'énergie finalement assez gratuite....
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