
On sait que Goldfrapp a régulièrement démontré des penchants plus que coupables pour la variété discoïde et largement décérébrée, mais on pouvait plaider le second degré, le fun, ou même le simple plaisir - si commun - de la nostalgie à deux sous. Avec "Head First", il devient impossible de se contenter d'en sourire et de dodeliner gentiment de la tête en ondulant du bassin : ce disque, qui ne contient en outre que deux ou trois mélodies à peu près réussies, est tout simplement trop vulgaire, trop laid et trop bête pour...
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