
Pendant que les roadies, dont un
petit jeunot ressemblant comme deux gouttes d’eau à Edwyn Collins, préparent le
matériel, Inés et moi nous installons confortablement au premier rang, sur la
gauche de la scène : impeccable, nous sommes prêts pour un set que
j’attends comme le messie (je l’ai dit, j’ai toujours eu une sorte d’étrange
affection pour Edwyn Collins et sa
musique, et je suis angoissé de voir comment l’a laissé la double hémorragie
cérébrale qui l’a terrassé voici cinq ans..), mais dont je suis encore loin
...
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