
Alors que le "printemps" du cinéma coréen n'est plus qu'un merveilleux souvenir, que KIM Ki-Duk et son stakhanovisme ne font plus la une (c'est à peine si ses nouveaux films sortent encore en Europe), on peut revoir son brillant "Locataires" avec un peu plus de recul, de perspective… et admettre que c'est un film qui survivra sans doute à l'hystérie de notre passion d'une saison pour la Corée. Mieux encore, le formalisme brillant de KIM Ki-Duk paraît aujourd'hui moins "forcé", à une époque où le brio des...
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