
Le tome 5 de "Pluto" voit Urasawa se concentrer sur les aspects les plus psychologiques de son récit, lançant ses personnages à la recherche de sentiments extrêmes en eux - la haine pour l'inpecteur Gesicht, la tristesse pour la petite soeur d'Astro -, sentiments fondateurs de leur "humanité" (car bien entendu, ce sont des robots !). On peut trouver des accents "shakespeariens" aux différentes tragédies, souvent ultra-violentes, qui composent la trame de "Pluto", mais le talent suprême de...
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