
Il faut se méfier des disques qui arrivent avec leur propre critique - bien sûr louangeuse - jointe (c'était déjà le cas avec le médiocre second album de MGMT !) : la propagande qui nous est servie avec de grands mots pompeux (inspiré, exquis, intelligent, etc.) dissimule ici une fois de plus une affligeante absence d'inspiration, aucune mélodie de cet "Olympia" qui voit Ferry singer - jusque dans la pochette - les grandes heures de son Roxy Music, ne valant "tripette" ! Bien entendu conscient de sa propre...
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