
Un album qui s'ouvre par un morceau aussi enchanteur que "Factory", et qui, ensuite, enchaîne sans coup férir avec les mélodies subtiles de "Compliments" et "Laredo" paraît d'emblée destiné à être un "grand" disque. Las ! La suite, à quelques rares occasions près, déçoit largement les attentes, tant il se dégage peu à peu de "Infinite Arms" une sensation de fadeur agravée par un sentiment gênant de "déjà-vu", ou plutôt de "déjà-entendu" : sur le web, on trouve...
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