
Célébré un peu partout sur la planète par les gens intelligents et de bon goût, « The Besnard Lakes Are the Roaring Night » (quel titre !) m’a personnellement laissé un peu froid : j’ai bien vu d’où le groupe venait (My Bloody Valentine meets Neil Young et les Beach Boys, pour faire simple) et où il voulait aller, vers un rock psychédélique à la fois aérien (climatique, même...) et entêtant, mais j’ai personnellement trouvé que cela ne fonctionnait qu’une fois sur deux, parce que trop souvent la force (ou la beauté...) des morceaux...
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