
Il est toujours
passionnant de voir un nouveau metteur en scène tenter une approche nouvelle
sur un thème classique, comme celui de "Animal kingdom" : à partir
d'un scénario qui peut rappeler celui des premiers thrillers / tragédies
familiales de James Gray par exemple, Michôd expérimente avec succès une
approche formelle entre somnabulisme hébété (belle incarnation du personnage
principal d'adolescent au corps d'adulte) et stase douloureuse. "Animal
Kingdom" atteint ainsi quelques sommets de tension...
[Lire la suite]