
Ce n’est qu’un peu avant 22 h 15 qu’Elliott Murphy et Olivier Durand apparaissent, parce qu’il a bien fallu laisser trois quarts d’heure pour que les gens s’installent laborieusement à leur table dans la salle : on commence comme toujours très soft, avec cette espèce de mise en place « low key » habituelle aux sets d’Elliott. Le problème, c’est que, même quand le concert devrait monter en puissance comme d’habitude (A Touch of Mercy, Sonny, du lourd, non ?), il ne se passe RIEN, mais rien de rien ! Le son est désagréablement...
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